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Strong Women

1 juin 2018 | Marie-Josée Turcotte, éditrice

Strong Women
© Marjorie Roy, Optique Photo

Avez-vous déjà regardé la série télé américaine Mad Men ? L’action, qui se déroule dans une agence publicitaire de New York, dépeint une époque – celle des années 1960 – dominée par les hommes, tant au travail qu’à la maison.



Cette série de sept saisons, que j’ai écoutée en rafale, m’a fascinée, car elle montre à quel point la société a évolué au cours des 50 dernières années. Merci, mon Dieu, de m’avoir fait naître à la bonne époque !

Un demi-siècle plus tard, si les producteurs de Mad Men devaient réécrire cette série à l’approche des années 2020, celle-ci s’intitulerait probablement Strong Women.

Aujourd’hui, plus personne n’est surpris qu’une femme occupe un poste clé ou accède à la présidence d’une entreprise. La gouvernance et le leadership au féminin sont même encouragés et valorisés. Un demi-siècle plus tard, si les producteurs de Mad Men devaient réécrire cette série à l’approche des années 2020, celle-ci s’intitulerait probablement Strong Women. Et elle mettrait en vedette des femmes fonceuses comme Caroline Boilard, Mélanie Castonguay, Louise De Angelis, Kateri-Anne Grenier, Annie Laliberté, Lucie Laurin, Ophélia-Anna Nagar, Nancy Ricard et Annie Talbot. De vraies battantes, pour qui le mot « ambition » se conjugue doublement au féminin et rime avec le mot « détermination ». Des femmes qui, dans certains cas, évoluent dans des milieux traditionnellement masculins ou ultracompétitifs, mais qui gardent le cap, servant de modèles et d’inspiration pour les autres, ouvrant la route à celles qui souhaitent emprunter la même voie.

Chères lectrices, chers lecteurs, c’est avec un immense plaisir que je vous présente ce mois-ci des femmes qui transforment le visage de Québec !

Bonnes découvertes ! Bonne inspiration !

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